Suite au rachat de Grouper, Sony a entrepris de réadapter l'ancien site de vidéos en ligne pour en faire un tremplin pour vidéastes amateurs.
Avec le lancement de Crackle, Sony s'insère sur le marché de la vidéo en ligne et tente de se démarquer de la concurrence. La firme japonaise, qui a fait l'acquisition de Grouper en octobre dernier, a en effet profité de la réadaptation de ce site pour proposer un concept original autour de la vidéo 2.0. Crackle, qui se présente sous la forme d'un guide télé interactif, propose aux internautes comme aux réalisateurs web les plus aguerris de publier leurs productions audiovisuelles en ligne.
La nouveauté: les auteurs des vidéos recueillant la préférence des internautes et du jury de Crackle se verront notamment offrir la possibilité d'être financés par Sony pour leurs futures réalisations.
Récompenser la créativité
Des accords de distribution, de production et d'autres gratifications financières sont aussi prévus au programme. L'interface interactif du site permet d'ores et déjà d'intégrer des vidéos pour une diffusion 16/9e de haute qualité. Les internautes participant peuvent ainsi diffuser leurs contenus vidéo autour de quatre thèmes déclinés comme s'il s'agissait de chaînes télévisées thématiques. Pour ce lancement, les univers musicaux, comiques et le divertissement sont à l'honneur.
A terme, douze univers devraient être disponibles.
Faire place aux nouveaux talents
Le site consacre ainsi des périodes de "compétition" durant lesquelles les réalisateurs amateurs s'affrontent pour obtenir les faveurs du public et du jury de spécialistes créé pour l'occasion. Au terme du concours, les prix sont attribués en fonction du classement établi et des thèmes traités. Il est en outre prévu que toutes les vidéos sélectionnées soient distribuées à travers le réseau de video players Sony. C'est une audience de près de 25 millions de personnes qui serait visée. "Le marché de la vidéo générée par l'utilisateur est en berne", a déclaré Josh Felser, président de Crackle, à nos confrères de CNET news.com. Et d'ajouter, "nous laissons le partage de vidéos derrière nous pour nous concentrer sur l'émergence de nouveaux talents".
LU ICI : L'ATELIER
Avec le lancement de Crackle, Sony s'insère sur le marché de la vidéo en ligne et tente de se démarquer de la concurrence. La firme japonaise, qui a fait l'acquisition de Grouper en octobre dernier, a en effet profité de la réadaptation de ce site pour proposer un concept original autour de la vidéo 2.0. Crackle, qui se présente sous la forme d'un guide télé interactif, propose aux internautes comme aux réalisateurs web les plus aguerris de publier leurs productions audiovisuelles en ligne.
La nouveauté: les auteurs des vidéos recueillant la préférence des internautes et du jury de Crackle se verront notamment offrir la possibilité d'être financés par Sony pour leurs futures réalisations.
Récompenser la créativité
Des accords de distribution, de production et d'autres gratifications financières sont aussi prévus au programme. L'interface interactif du site permet d'ores et déjà d'intégrer des vidéos pour une diffusion 16/9e de haute qualité. Les internautes participant peuvent ainsi diffuser leurs contenus vidéo autour de quatre thèmes déclinés comme s'il s'agissait de chaînes télévisées thématiques. Pour ce lancement, les univers musicaux, comiques et le divertissement sont à l'honneur.
A terme, douze univers devraient être disponibles.
Faire place aux nouveaux talents
Le site consacre ainsi des périodes de "compétition" durant lesquelles les réalisateurs amateurs s'affrontent pour obtenir les faveurs du public et du jury de spécialistes créé pour l'occasion. Au terme du concours, les prix sont attribués en fonction du classement établi et des thèmes traités. Il est en outre prévu que toutes les vidéos sélectionnées soient distribuées à travers le réseau de video players Sony. C'est une audience de près de 25 millions de personnes qui serait visée. "Le marché de la vidéo générée par l'utilisateur est en berne", a déclaré Josh Felser, président de Crackle, à nos confrères de CNET news.com. Et d'ajouter, "nous laissons le partage de vidéos derrière nous pour nous concentrer sur l'émergence de nouveaux talents".
LU ICI : L'ATELIER
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