Pour combler le déficit de la sécu, nos chers gouvernants ont trouvé que le mieux, c'était encore de nous faire payer .....
à Dorénavant, sur une consultation médicale, nous allons devoir verser : 1,00 Euro
à Nous allons être hyper contrôlés lors de nos arrêts maladie,
à Nous allons devoir consulter un généraliste avant de voir un spécialiste,
à Pour tout traitement de plus de 91,00 EUR, nous en serons de 18,00 EUR de notre poche
Toutes ces mesures sont destinées à combler le fameux trou qui est à ce jour de :
11 milliards d’€
Or, savez-vous que :
à Une partie des taxes sur le tabac, destinée à la Sécu n'est pas reversée : 7,8 milliards
à Une partie des taxes sur l'alcool, destinée à la Sécu n'est pas reversée : 3,5 milliards
à Une partie des primes d'assurances automobiles destinée à la Sécu n'est pas reversée : 1,6 milliards
à La taxe sur les industries polluantes destinée à la Sécu n'est pas reversée : 1,2 milliards
à La part de TVA destinée à la Sécu n'est pas reversée : 2 milliards
à Retard de paiement à la Sécu pour les contrats aidés : 2,1 milliards
à Retard de paiement par les entreprises : 1,9 milliards
En faisant une bête addition, on arrive au chiffre de : 20 milliards d'Euro.
Si les responsables de la Sécu et nos gouvernants avaient fait leur boulot efficacement et surtout honnêtement, les prétendus 11milliards de trou, seraient aujourd'hui : 9 milliards d'excédent.
- Ces chiffres sont issus du rapport des comptes de la Sécu
Enfin, il faut savoir que Guillaume Sarkozy (frère de notre président) est le directeur général du groupe Médéric, Mutuelle de santé privée (santé, prévoyance, épargne, retraite). Groupe attaché de près à la cause d'Alzheimer, et qui a compris qu'il y avait là un crédo à prendre.... On pouvait se demander pourquoi Nicolas Sarkozy faisait une fixette sur Alzheimer, nous avons notre réponse !... Son frère a ouvert un commerce avec ça depuis qu'il est devenu PDG du groupe Médéric !!
14/12/2007
12/12/2007
incident de Floride
La signification de l'incident de Floride
lors de la conférence de John Kerry
Paul Craig Roberts
18 Septembre 2007
Les Américains naïfs qui pensent vivre dans une société libre devraient regarder cette vidéo ( http://www.thefirstpost.co.uk/index.php?filmID=601 ) filmée par des étudiants lors du discours de John Kerry le 17 septembre, le Jour de la Constitution, à l'Université de Floride à Gainesville.
À l'issue de son discours Kerry a donné la parole à Andrew Meyer, un étudiant en histoire du journalisme de 21 ans. Meyer a brandi un exemplaire du livre de Greg Palast, journaliste d'investigation à la BBC, Maison de fous armés, [voir le dernier article de Greg sur Alter Info, NDT] et a demandé à Kerry s'il était conscient du fait que les investigations de Palast avaient établi qu'il avait en fait gagné les élections. Meyer a demandé à Kerry, pourquoi a-t-il concédé sa défaite aux élections si rapidement alors qu'il y avait tant d'exemples de fraude manifestes sur les voix ? Pourquoi, a continué de demander Meyer, Kerry refusait-il de considérer la mise en accusation de Bush alors que ce dernier était sur le point de lancer un autre acte d'agression militaire, contre l'Iran cette fois ?
À ce moment le dispositif policier de protection du public a décidé que Meyer en avait trop dit. Ils ont saisi Meyer et ont commencé à l'emmener de force. Meyer a dit à plusieurs reprises, « Je n'ai rien fait de mal, » ce qui était vrai en vertu de nos lois. Il n'avait menacé ni agressé personne.
Mais la police a décidé que Meyer, citoyen Américain, n'avait ni le droit de parler librement ni de bénéficier d'une protection constitutionnelle. Ils l'ont jeté sur plancher et lui ont donné un électrochoc au Taser devant le sénateur Kerry et le large auditoire d'étudiants, qui ont enregistré sur vidéo l'acte de brutalité incontestable de la police. Meyer a été expulsé et emprisonné sur la fausse accusation de « perturber une réunion publique. »
La question que nous devrions tous poser est pourquoi un sénateur des États-Unis est juste resté là debout pendant que des gorilles de la Gestapo violaient les droits constitutionnels d'un étudiant qui participait à une rencontre publique, le brutalisaient à la vue de tous, et l'emmenaient ensuite en prison sur la base de fausses accusations ?
L'absence de réactions de Kerry, non seulement face à la fraude électorale, non seulement face aux guerres de Bush qui sont des crimes sous la norme de Nuremberg, mais aussi face au comportement de gorilles de la police piétinant les droits constitutionnels des citoyens Américains, explique totalement son incapacité à être président, et il est incapable d'être sénateur.
D'habitude quand la police viole les droits constitutionnels et commet des actes de brutalité policière, elle le fait quand elle pense que personne ne regarde, pas devant une grande assistance. Manifestement, la police est devenue plus arrogante dans sa façon de violer les droits des citoyens. Qu'est-ce qui explique ce nouveau courage de la police pour violer les droits et pour brutaliser les citoyens sans raison ?
La réponse est que la police, qui sont pour la plupart des gens qui souhaitent exercer leur autorité, a vu que les droits constitutionnels n'étaient plus protégés. Le président Bush ne protège pas nos droits constitutionnels, ni le vice-président Cheney, ni le ministre de la justice, ni le Congrès. De la même manière que Kerry Kerry a permis aux droits de Meyer d'être tasérisés, le Congrès a permis à Bush de dépouiller les gens, y compris les citoyens Étasuniens, de leur protection constitutionnelle et de les incarcérer sans présenter de preuve.
Combien de temps s'écoulera-t-il avant que Kerry lui-même, ou qu'un autre sénateur ne soit traîné hors d'un podium et tasérisés ?
Les R épublicains de Bush avec la complicité des D émocrates ont pour l'essentiel contribué à créer cette situation d'irresponsabilité du gouvernement aux USA vis à vis des citoyens. Le gouvernement des USA a établi une liste de 80.000 personnes, incluant des citoyens Américains ordinaires, sur « liste d'interdiction d'utiliser les transports aériens » Aucune personne figurant sur cette liste ne sait pourquoi elle s'y trouve, et ne sait comment elle peut cesser d'y figurer. L'adiministration Bush n'a fourni aucune explication quant cette mesure. .
Les services de sécurité des aéroports harcèlent et maltraitent des gens qui ne correspondent à aucune définition connue du terroriste. Nalini Ghuman, un citoyenne née en Grande Bretagne, professeur de musique au Mills College de Californie a été accueillie à son retour d'un voyage en Angleterre par des gardes armés, à la porte de l'avion, qui l'ont aussitôt entraînée. Une escouade de gorilles de la Gestapo a déchiré son visa US, détérioré son passeport britannique, procédé sur elle à une fouille corporelle, et lui a dit qu'elle avait le choix entre repartir immédiatement pour l'Angleterre ou être envoyée dans un centre de détention.
La professeur Ghuman, diplômée de l'Université d'Oxford, titulaire d'une thèse de doctorat de l'Université de Californie à Berkeley, dit qu'elle se sent comme le personnage du livre de Kafka, Le Procès. « Je ne sais pas pourquoi c'est arrivé, ce dont je suis accusée. Personne ne peut se défendre. On est juste totalement impuissant. » Plus d'un an après les faits, il n'y a toujours aucune réponse. (Une spécialiste musicienne est exclue des USA, mais personne ne lui dira pourquoi, par Nina Bernstein, New York Times, 17 septembre 2007)
Au nom de la « sécurité, » les Républicains de Bush et leurs lèche-bottes D émocrates nous ont tous rendu impuissants. Pendant que le sénateur John Kerry et ses collègues Démocrates restent silencieux, l'administration Bush s'est emparée de notre pays et fait de nous ses sujets.
Paul Craig Roberts fut Secrétaire Adjoint au Trésor dans l'administration Reagan. Il est l'auteur de Supply-Side Revolution : An Insider's Account of Policymaking in Washington ; Alienation and the Soviet Economy et Meltdown: Inside the Soviet Economy, et est coauteur avec Lawrence M. Stratton de The Tyranny of Good Intentions : How Prosecutors and Bureaucrats Are Trampling the Constitution in the Name of Justice. Clic ici pour l'entrevue [en anglais] de Peter Brimelow de Forbes Magazine avec Roberts au sujet de la récente épidémie d'inconduite des procureurs.
lors de la conférence de John Kerry
Paul Craig Roberts
18 Septembre 2007
Les Américains naïfs qui pensent vivre dans une société libre devraient regarder cette vidéo ( http://www.thefirstpost.co.uk/index.php?filmID=601 ) filmée par des étudiants lors du discours de John Kerry le 17 septembre, le Jour de la Constitution, à l'Université de Floride à Gainesville.
À l'issue de son discours Kerry a donné la parole à Andrew Meyer, un étudiant en histoire du journalisme de 21 ans. Meyer a brandi un exemplaire du livre de Greg Palast, journaliste d'investigation à la BBC, Maison de fous armés, [voir le dernier article de Greg sur Alter Info, NDT] et a demandé à Kerry s'il était conscient du fait que les investigations de Palast avaient établi qu'il avait en fait gagné les élections. Meyer a demandé à Kerry, pourquoi a-t-il concédé sa défaite aux élections si rapidement alors qu'il y avait tant d'exemples de fraude manifestes sur les voix ? Pourquoi, a continué de demander Meyer, Kerry refusait-il de considérer la mise en accusation de Bush alors que ce dernier était sur le point de lancer un autre acte d'agression militaire, contre l'Iran cette fois ?
À ce moment le dispositif policier de protection du public a décidé que Meyer en avait trop dit. Ils ont saisi Meyer et ont commencé à l'emmener de force. Meyer a dit à plusieurs reprises, « Je n'ai rien fait de mal, » ce qui était vrai en vertu de nos lois. Il n'avait menacé ni agressé personne.
Mais la police a décidé que Meyer, citoyen Américain, n'avait ni le droit de parler librement ni de bénéficier d'une protection constitutionnelle. Ils l'ont jeté sur plancher et lui ont donné un électrochoc au Taser devant le sénateur Kerry et le large auditoire d'étudiants, qui ont enregistré sur vidéo l'acte de brutalité incontestable de la police. Meyer a été expulsé et emprisonné sur la fausse accusation de « perturber une réunion publique. »
La question que nous devrions tous poser est pourquoi un sénateur des États-Unis est juste resté là debout pendant que des gorilles de la Gestapo violaient les droits constitutionnels d'un étudiant qui participait à une rencontre publique, le brutalisaient à la vue de tous, et l'emmenaient ensuite en prison sur la base de fausses accusations ?
L'absence de réactions de Kerry, non seulement face à la fraude électorale, non seulement face aux guerres de Bush qui sont des crimes sous la norme de Nuremberg, mais aussi face au comportement de gorilles de la police piétinant les droits constitutionnels des citoyens Américains, explique totalement son incapacité à être président, et il est incapable d'être sénateur.
D'habitude quand la police viole les droits constitutionnels et commet des actes de brutalité policière, elle le fait quand elle pense que personne ne regarde, pas devant une grande assistance. Manifestement, la police est devenue plus arrogante dans sa façon de violer les droits des citoyens. Qu'est-ce qui explique ce nouveau courage de la police pour violer les droits et pour brutaliser les citoyens sans raison ?
La réponse est que la police, qui sont pour la plupart des gens qui souhaitent exercer leur autorité, a vu que les droits constitutionnels n'étaient plus protégés. Le président Bush ne protège pas nos droits constitutionnels, ni le vice-président Cheney, ni le ministre de la justice, ni le Congrès. De la même manière que Kerry Kerry a permis aux droits de Meyer d'être tasérisés, le Congrès a permis à Bush de dépouiller les gens, y compris les citoyens Étasuniens, de leur protection constitutionnelle et de les incarcérer sans présenter de preuve.
Combien de temps s'écoulera-t-il avant que Kerry lui-même, ou qu'un autre sénateur ne soit traîné hors d'un podium et tasérisés ?
Les R épublicains de Bush avec la complicité des D émocrates ont pour l'essentiel contribué à créer cette situation d'irresponsabilité du gouvernement aux USA vis à vis des citoyens. Le gouvernement des USA a établi une liste de 80.000 personnes, incluant des citoyens Américains ordinaires, sur « liste d'interdiction d'utiliser les transports aériens » Aucune personne figurant sur cette liste ne sait pourquoi elle s'y trouve, et ne sait comment elle peut cesser d'y figurer. L'adiministration Bush n'a fourni aucune explication quant cette mesure. .
Les services de sécurité des aéroports harcèlent et maltraitent des gens qui ne correspondent à aucune définition connue du terroriste. Nalini Ghuman, un citoyenne née en Grande Bretagne, professeur de musique au Mills College de Californie a été accueillie à son retour d'un voyage en Angleterre par des gardes armés, à la porte de l'avion, qui l'ont aussitôt entraînée. Une escouade de gorilles de la Gestapo a déchiré son visa US, détérioré son passeport britannique, procédé sur elle à une fouille corporelle, et lui a dit qu'elle avait le choix entre repartir immédiatement pour l'Angleterre ou être envoyée dans un centre de détention.
La professeur Ghuman, diplômée de l'Université d'Oxford, titulaire d'une thèse de doctorat de l'Université de Californie à Berkeley, dit qu'elle se sent comme le personnage du livre de Kafka, Le Procès. « Je ne sais pas pourquoi c'est arrivé, ce dont je suis accusée. Personne ne peut se défendre. On est juste totalement impuissant. » Plus d'un an après les faits, il n'y a toujours aucune réponse. (Une spécialiste musicienne est exclue des USA, mais personne ne lui dira pourquoi, par Nina Bernstein, New York Times, 17 septembre 2007)
Au nom de la « sécurité, » les Républicains de Bush et leurs lèche-bottes D émocrates nous ont tous rendu impuissants. Pendant que le sénateur John Kerry et ses collègues Démocrates restent silencieux, l'administration Bush s'est emparée de notre pays et fait de nous ses sujets.
Paul Craig Roberts fut Secrétaire Adjoint au Trésor dans l'administration Reagan. Il est l'auteur de Supply-Side Revolution : An Insider's Account of Policymaking in Washington ; Alienation and the Soviet Economy et Meltdown: Inside the Soviet Economy, et est coauteur avec Lawrence M. Stratton de The Tyranny of Good Intentions : How Prosecutors and Bureaucrats Are Trampling the Constitution in the Name of Justice. Clic ici pour l'entrevue [en anglais] de Peter Brimelow de Forbes Magazine avec Roberts au sujet de la récente épidémie d'inconduite des procureurs.
11/12/2007
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