13/07/2007
11/07/2007
10/07/2007
SARKO SUR TWITTER...PAPIER !
et hop vous saurez tout des journées de "NOTRE CHER PRESIDENT"!
LE WIFI-PICNING !
Voici son principe : on donne rendez-vous à des personnes que l'on connaît ou non, dotées d'ordinateur portable équipé d'une carte wifi (lire : wifi pour les nuls), chacune peut être accompagnée d'amis non-équipés - c'est mixte.
Le but étant de tous se connecter dans un réseau local sans fil (bulle wifi) totalement autonome et temporaire (sans fil, sans électricité et non relié au Net) ouvert à tous dans des espaces publics d'une portée de 30 mètres environ.
Tous ceux dont qui sont connectés sont physiquement présents dans ce périmètre.
Le premier contact entre tous a lieu dans une "chat room" (salon de discussion - compatible PC/Mac) commun dans lequel on se rencontre, et on s'amuse à mélanger virtuel et réel (discuter et écrire tous ensemble, s'échanger des photos, créer, penser, etc.) géographie physique et symbolique.
L'idée étant de permettre d'initier un dialogue ludique entre les personnes connectées, situées dans un même espace proche, favoriser le voisinage et la créativité.
Autour de cela, on boit un verre, on picore et on discute aussi en vrai (si, si…).
Comme le pique-nique, le wifipicning, est l'occasion d'un partage autour d'un lieu convivial.
Ce n'est pas compliqué et c'est même ludique !
LU ICI : memoire-vive.org
09/07/2007
08/07/2007
SYLVAIN TESSON
Ce qu'on dit de lui :
Pour ralentir la fuite du temps, Sylvain Tesson parcourt le monde à pied, à cheval, à vélo ou en canot.
Dans les steppes d’Asie centrale, au Tibet, dans les forêts françaises ou à Paris, il marche, chevauche, mais escalade aussi les monuments à mains nues.
Pour mieux embrasser la Terre, il passe une nuit au sommet de Notre-Dame de Paris, bivouaque dans un arbre ou sous un pont, recourt aux cabanes.
Cet amoureux des reliefs poursuit le merveilleux et l’enchantement. Dans nos sociétés de communication, Sylvain Tesson en appelle à un nouveau nomadisme, à un vagabondage joyeux.
Ce Petit traité sur l’immensité du monde est un précis de désobéissance naturaliste, une philosophie de poche buissonnière, un récit romantique contre l’ordre établi.
Ce qu'il dit de lui :
Un wanderer, c’est quelqu’un qui est à la croisée des chemins, un peu poète, un peu errant, un peu troubadour. Il est indéfinissable puisque, par nature, si on parvenait à le définir, il cesserait immédiatement d’être un wanderer.
On peut néanmoins tenter de faire son portrait : une sorte de vagabond céleste comme il y en a eu à toutes les époques et sous toutes les constellations. Il n’appartient ni à son temps ni à sa culture, il appartient à la Nature qu’il sillonne en cherchant à vivre en « perpétuel état de poésie » selon le mot de Novalis.
En fait, c’est dans un poème de Goethe que j’ai trouvé cette mention du wanderer : « un voyageur émerveillé, perdu dans le royaume de ses rêves ».