01/09/2007





Les réseaux peer to peer créent la monnaie de demain


Ecouter l'article
Les systèmes de paire à paire consomment de la bande passante et mettent à contribution les machines de leurs utilisateurs. Monétiser ces échanges pourrait faire naître un nouveau type de commerce électronique.

Les réseaux peer to peer créent la monnaie de demain"En passant par un réseau peer-to-peer (P2P), un internaute prend part à une transaction". Cette affirmation étonnante provient d'une équipe de recherche de l'université d'Harvard. L'idée n'est pas farfelue : le membre d'un tel système consomme des ressources sur le réseau, tout en autorisant ce dernier à faire appel à la puissance de calcul de sa machine. Le professeur d'Harvard David Parkes travaille sur Tribler, un logiciel de partage de vidéo décentralisé.

La bande passante comme monnaie

Pour lui, les univers P2P actuels font en sorte que cette transaction soit équilibrée. La déséquilibrer permettrait, selon ce chercheur, d'accumuler des ressources afin de les dépenser pour des besoins spécifiques. "Cela créerait une nouvelle forme de monnaie, sous la forme de bande passante ou de tranches de méga-octets de données à acheter au sein du réseau peer-to-peer", a-t-il affirmé.

Eprouver le concept par l'échange de vidéos

Une application décentralisée d'échange de vidéo, du fait de ses besoins importants en bande passante, serait le candidat idéal pour tester ce nouvel ordre monétaire. Les chercheurs évoquent ainsi l'exemple d'un groupe qui collaborerait sur Internet pour créer une vidéo. Ce groupe pourrait acheter des crédits sur Tribler, crédits qu'ils dépenseront lorsqu'ils auront besoin de transmettre leur oeuvre avec un taux de transfert plus rapide que la moyenne.

Sources : Atelier groupe BNP Paribas

31/08/2007

Où est le mal ?...

Divagations 4 : Uncommon Places de Stephen Shore

Ces « divagations » ne sont ni des études savantes – ni même des études, et savantes encore moins – sur des œuvres qui m’ont, à un moment où à un autre, profondément bouleversé. De l’une à l’autre peu de points communs, si ce n’est, peut-être, un principe d’incertitude – tableaux, photos, peintres et photographes connus ou inconnus ne seront pas là tout à fait dans la norme, dans l’échelle, dans l’allure ou dans le goût.

Download vg4_shore.mp3

› Télécharger mp3 | Contrat d’utilisation : Licence Creative Commons
› Emission réalisée par : Vincent Gille
Texte lu par Esther Salmona et Benoît Lardières. La voix que l’on entend en arrière-plan est celle de Jack Kerouac et la musique est de Charlie Haden.

Sources : radiolist.org

Synaepsthésie

La soirée Synaepsthésie propose, pendant près de 5h, les oeuvres sonores et visuelles de six groupes d'artistes, au programme : danse, musique live, syntaxe audiovisuelle, licence art libre, cyber-électronique et minimalisme, interaction audio / video, et autres performances.

le 2 septembre 2007 à 20h

La Bellevilloise, 21 rue Boyer, 75020 Paris M Gambetta www.labellevilloise.com

Renseignements : 01.53.27.35.77

avec

Maflohé Passedouet/Cie Mobilis-Immobilis (performance dansée et interaction images/musique electroacoustique) http://www.mobilisimmobilis.com

Musimatique (installation d’objets pour interface d’interaction audio-video) http://www.musimatique.com

Chdh (performance audio/visuel entre le minimalisme et l’industriel, froid mais organique) http://www.chdh.free.fr

LLND (performance live sonochromique : "terr’estre") http://www.llnd.fr

projectsinge jérôme et jeanfrançois Blanquet (interférence humaine sur machine electronique modifiée instable) http://www.projectsinge.net http://www.myspace.com/projectsinge

Servovalve (live sonographique numerique) http://www.servovalve.org

Les programmes d’Arte en différé gratuit sur le Net

lu ICI

Plus besoin de magnétoscope. Les téléspectateurs d’Arte pourront regarder sur le Net une émission qu’ils ont ratée. La chaîne va étoffer son offre de vidéo à la demande avec un nouveau site sur lequel elle planchait depuis plusieurs mois (lire notre article ci-dessous).

Lancé le 1er octobre prochain, Arte+7 diffusera gratuitement les programmes de la chaîne (à l’exception des films) pendant les sept jours qui suivent leur diffusion à l’antenne. Documentaires et émissions seront disponibles en streaming sur l’écran d’ordinateur et sans publicités. Les internautes auront le choix entre plusieurs formats Windows Media Player ou Flash.

Première publication le 20/03/2007

France 5 et Arte en différé sur le Net

Les deux chaînes se préparent à proposer leurs programmes en ligne dès le lendemain de leur diffusion. D’abord gratuits, les contenus seraient payants au bout de quelques jours.

Les journaux télévisés disponibles sur les sites Internet des chaînes, les épisodes des « Rois maudits » version 2005 téléchargeables gratuitement sur le site de France 2 le lendemain de leur diffusion, idem pour ceux du « Maître du Zodiaque » chez TF1 en juillet 2006. Pour les chaînes de télévision, l’heure est à l’exploitation du canal Web, et pas seulement avec de la vidéo à la demande (VOD) payante. France 5 et Arte travaillent actuellement à la mise à disposition de leurs programmes sur le Web le lendemain de la diffusion hertzienne.

Sur la première, c’est déjà le cas pour tous les magazines (Arrêt sur images, Les Escapades de Petitrenaud, Le Magazine de la santé, etc.). Au bout d’une semaine, ils basculent en VOD payante. La chaîne négocie actuellement avec les producteurs pour faire la même chose avec les documentaires. Le service d’Arte, intitulé Arte Plus 7, est prévu lui pour septembre.

Là aussi, pendant une semaine, les contenus seront téléchargeables gratuitement, avant d’être mis en vente au rayon VOD du site, à condition que les producteurs aient accordé ce droit et que cela présente un intérêt. « C’est un projet qui n’est pas spécifique à Arte, reconnaît-on au siège français de la chaîne franco-allemande, et c’est un modèle qui va être de plus en plus courant. On a noté une évolution de la consommation des images : il faut offrir plus de liberté, la possibilité de regarder des programmes quand on veut. »

Arte réfléchit à la mobilité

L’ambition d’Arte est ni plus ni moins de mettre en ligne tous ses programmes dès le lendemain. En théorie. En pratique, la chaîne sait qu’elle va devoir compter avec les droits que lui accorderont les producteurs. Comme France 5, elle est aujourd’hui en pleine négociation. « Il y a une telle mutation dans la consommation de la télévision que chacun y va prudemment, explique-t-on chez Arte. On ne peut pas précisément dire combien de programmes pourront être diffusés sur le Net en septembre.Le documentaire pose moins de problèmes que la fiction, qui elle-même pose moins de problèmes que les spectacles. »

En tout cas, il s’agira de téléchargement et de visionnage sur l’écran d’ordinateur, pendant quarante-huit heures seulement (à compter du lancement de la lecture). Pas de copie, pas de transfert sur un lecteur mobile, du moins pour l’instant. Mais Arte y réfléchit, d’autant qu’elle a déjà passé un accord avec Orange pour la reprise de ses programmes, en direct, sur les mobiles de l’opérateur.

Autres articles avec 01net. : Numericable va brancher 2 millions de foyers en fibre optique d’ici à la fin de 2007 Le jeu chinois dans lequel il faut tuer des fonctionnaires corrompus est victime de son succès Nokia retente sa chance dans les GPS autonomes



systaime shaman numerique

systaime,french trash touch,video,art,web,fun,vj,remix,sound,systaime